En 1958 arrive en Belgique à Retinne,village où vivent de nombreux immigrés
1972 diplômée en photographie à l’institut des
Beaux-Arts,St Luc, à Liège
En 1974, épouse le photographe J-L Vanesch. 1973 Galerie de la Bibliothèque Nationale, Paris,
”Jeunes photographes Internationaux” 1974 Museum of Fine Arts,Boston,USA
1975 Galerie Colombo, Milan
1976 Galerie Spectrum, Bruxelles
(exposition personnelle)
1982 Galerie Pennings, Eindhoven,Pays Bas
(exposition personnelle) 1986 Galerie JP Lambert, Paris
(exposition personnelle)
1986 Galerie XYZ Gand, avec G. Tavano,
M. Marangoni
1991 Centre Culturel de Hasselt
“À travers Carole”
1992 Yokohama, Japon, exposition personnelle ”Rêves en plein jour”
1992 Galerie JP Lambert Paris, ”Le ciel et la
terre” (exposition personnelle)
2002 Galerie Contretype, Bruxelles (exposition personnelle)”Pays-sages”, Espace Contretype,
Bruxelles 2004 ”Pays-sages”, Palais Abbatial de St Hubert
2005 ”Pays-sages”, Poznan (Pologne)”Et le bonheur ?” Centre Culturel de Marchin
2011 Espace Photographique Contretype,
Bruxelles, « Miroirs de l’Intime »
2016 galerie ‘T Zien, Mechelen mars/avril (exposition personnelle)
2018 galerie Flux, Liège (exposition personnelle) 2019 ”En Piste” La Boverie,Liège
Le Grenier, Esneux (exposition personnelle) 2020 « Juste là ! », Centre d’Art Léon Stern,
Verviers avec Jean-Louis Vanesch et Alain Janssens
Expose dans la salle consacrée aux femmes au MOMA de New-York depuis quelques années…
Beaucoup de photographes parcourent le monde pour y cueillir des instants magiques, mon espace à moi est tout petit mais je parcours le temps. Ce temps qui m’apporte quelquefois les scintillements de la vie.
Mon plus grand plaisir à la prise de vue est d’apprivoiser les choses, d’entrer dans leur intimité, que ce soit une poule, un cheval, un fruit ou une goutte d’eau… puis j’attends en quelque sorte leur consentement avant de déclencher.
Vient alors le plaisir lié à l’expérience technique de la photographie elle-même : le cadrage, la composition, le choix des lumières, le jeu entre le net et le flou…
Il y a aussi un troisième plaisir (et quelque fois une souffrance…) tout aussi important qui permet de révéler les deux premiers, c’est le travail du tirage en laboratoire.
À ce moment-là, par l’intermédiaire des contrastes, des valeurs (blanc, noir, gris) et de leurs nuances, j’essaye de faire revivre mes émotions premières.