RUBÉN MARTÍN DE LUCAS

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« Un projet qui nous invite à réfléchir à la nature artificielle et éphémère de toute frontière. »

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  • Lieu d’exposition : Garage Renault
  • Date : Du 5 juin au 29 août 2021

MINIMAL REPUBLICS
Sur le caractère artificiel des frontières et l’incapacité de l’homme à vivre sans elles

« Minimal Republics » est une série d’actions sur le paysage, qui répond à un exercice performatif :
• s’approprier 100m² de terrain
• dessiner une frontière
• l’habiter.
Les résultats sont de micro-états éphémères dont la limite répond toujours à la géométrie, le critère le plus artificiel pour une frontière, dont la durée n’excède pas 24h et dont le seul habitant est l’artiste lui-même. Des états ridicules et absurdes, dont la documentation sous la forme de photographie et de vidéo aérienne nous invite à réfléchir à la nature artificielle et éphémère de toute frontière.
Minimal Republics fait partie de STUPID BORDERS, une série de projets conceptuels qui questionne l’idée de nation et met en lumière l’étrange sentiment de possession qui lie l’homme à la Terre.
La série Minimal Republics a été présentée lors d’évènements institutionnels majeurs tels que le Festival Circulations – Paris, la biennale photographique d’Helsinki et lors d’un solo show au Musée de la Photographie de Lianzhou, Chine.

Diplômé en génie civil à l’Université polytechnique de Madrid en 2002, Rubén Martín de Lucas met de côté l’ingénierie pour se consacrer pleinement à l’art.
En 2001, il devient l’un des cinq fondateurs de Boa Mistura, un collectif artistique multidisciplinaire enraciné dans l’art urbain avec lequel Rubén a travaillé jusqu’en 2015, réalisant des projets en Afrique du Sud, en Espagne, en Norvège, en Allemagne, en Algérie, au Mexique et au Brésil.
En janvier 2015, il débute sa carrière solo en développant un corpus qui se concentre sur ce que l’artiste appelle : « paysage et comportement associé ».
A travers un ensemble d’œuvres protéiforme mêlant photographie, vidéo, performance, et peinture, Rubén Martín de Lucas questionne le lien complexe que l’être humain entretient avec le territoire, le paysage et le vivant.
Il étudie dans ses projets des sujets tels que la réduction progressive de l’espace réservé à la vie sauvage, la surpopulation, le caractère artificiel des frontières dans les Minimal Republics, la nature liquide du concept de nation dans les Iceberg Nations ou la dichotomie entre agriculture industrielle et agriculture naturelle dans Le jardin de Fukuoka.
Son travail bénéficie d’un rayonnement international et d’une forte reconnaissance institutionnelle.
www.martindelucas.com

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